Il vous est sans doute arrivé d’avoir mal aux yeux, à enchaîner les épisodes sur Netflix, ou après une belle session de jeu sur console…
Ce mal aux yeux est normal : les téléviseurs sont de plus en plus lumineux, et le HDR, qui magnifie l’image 4K avec ses reflets hyper réalistes, ajoute encore plus de lumière. Or, toute cette lumière émanant d’un écran, fatigue les yeux dans le noir.
Sécheresse oculaire, yeux qui piquent, migraine ophtalmique… Et vous voilà obligé d’arrêter la séance (généralement, pas au bon moment) ; de faire une pause pour soulager vos yeux endoloris. Avec en plus cette question du risque sur le long terme d’abîmer vos yeux*
* : qui fait encore débat parmi les scientifiques.
Et si vous pouviez reculer cette fatigue oculaire, c’est-à-dire profiter tout du long de votre « binge-watching » (visionnage d’un coup de l’intégrale d’une série) ou de votre session de jeu vidéo, d’une expérience plus confortable pour vos yeux ?
La vraie raison de la fatigue oculaire devant son écran TV
Si l’œil est agressé par la lumière des écrans de télévision, et fatigue plus vite, en générant des douleurs pour vous alerter, c’est que le noir de la pièce donne à vos yeux une mauvaise information. Cette pénombre dicte à l’œil d’ouvrir son iris, c’est à dire la pupille, qui est comme un robinet, afin de faire rentrer plus de lumière sur la rétine pour mieux voir, comme si vous étiez à l’extérieur par nuit noire. Mais du coup, en parallèle, plus de lumière du téléviseur atteint alors votre rétine. Et c’est ça, la source de fatigue. Comme les phares d’une voiture en pleine face qui vous éblouissent la nuit, alors qu’en plein jour, vous les remarquez à peine.
Combattre la lumière… Par la lumière !
Pour éviter à l’œil d’ouvrir trop grand son iris, face un écran, il faut réduire l’écart de contraste entre la luminosité de cet écran et celle de la pièce.
Une solution (trop) simple pourra être d’allumer la pièce de la télévision. Sauf que :
- l’expérience immersive y perd beaucoup (la lumière, ça ne fait pas très cinéma…) ;
- les lampes de la pièce peuvent se refléter dans l’écran ;
- le jaune des lampes de la pièce dégrade les couleurs perçues ;
Mais surtout, cette lumière d’éclairage est bien trop forte pour cet objectif d’empêcher la pupille de trop s’ouvrir.
En fait, il faut juste ajouter un filet de lumière d’ambiance, bien calibré. C’est typiquement ce que la lampe anti-fatigue Medialight 6500K permet de mettre en place. Avec son ruban LED qui projette une lumière douce derrière l’écran de télévision, elle n’éclaire pas inutilement toute la pièce, et par conséquence ne dénature pas l’expérience de visionnage.
Concrètement, l’éclairage indirect Medialight Mk2 Flex se présente sous la forme d’un bandeau de LED blanches à 6500K certifiées par l’ISF (Imaging Science Fundation), à coller au dos en haut de son téléviseur.
Une fois allumé et son intensité réglée (via un guide), c’est désormais ce halo de lumière fixe émanant de l’arrière du téléviseur et se réfléchissant sur le mur, qui va servir de repère stable pour l’ouverture de l’iris des yeux, et non plus la lumière de l’écran. Conséquences : les yeux ne sont plus jamais éblouis. Et bien sûr, aucune lumière parasite ne vient se réfléchir sur l’écran.
Cliquez ici pour découvrir le bandeau d’éclairage anti-fatigue
pour TV Medialight MK2 Flex
Comment améliorer en plus la qualité d’image de son TV ?
En plus, en bonus, la qualité perçue des noirs des images est améliorée, grâce à ce rétroéclairage : ils deviennent plus noirs (se rapprochant de l’OLED). Et ça, sans changer de TV. C’est prouvé, regardez ci-dessous !
La touche secrète # 1 : un juste dosage de lumière
Pour une efficacité optimale, sans sur-éclairer la pièce,
il a été établi par les professionnels de l’image que l’intensité de ce rétroéclairage d’ambiance du mur arrière par la lampe anti-fatigue doit être calé sur 10 % de la luminosité du téléviseur.
Avec le système d’éclairage indirect Medialight Mk2 Flex, une télécommande infrarouge est fournie afin de paramétrer précisément l’intensité du halo diffusé. Mais surtout, une vidéo dédiée avec son tutoriel, est là pour permettre d’ajuster à l’œil facilement cette intensité sur 10 %. Car arriver à ce bon dosage dépend à la fois des caractéristiques du téléviseur, de ses réglages, et de sa distance par rapport au mur arrière (un minimum de 20 cm est recommandé, pour permettre au halo de lumière de bien s’étendre).
Tout est fourni pour établir cette juste quantité de lumière, pour le confort, et le spectacle.
Le kit Medialight Mk2 Flex est composé d’un ruban LED adhésif de 1 m, 2m, 3m, 4m, 5m, ou 6m de long, à choisir en fonction de la taille de son téléviseur, et de sa position ; sur un meuble, ou au mur. Il adresse les moniteurs de 51 cm, jusqu’aux écrans géants de 328 cm (projection), en passant par toutes les tailles classiques, comme 55 » (140 cm) ou 65 » (165 cm).
La touche secrète #2 : d’une lumière juste…
La lumière délivrée par les LED du bandeau Medialight Mk2 Flex est blanche. Mais pas n’importe quel blanc. Plus précisément, la température de couleur de ce blanc est normée à 6500K CCT (Température de Couleur Corrélée), de manière certifiée par l’ISF (Imaging Science Fondation). Ce blanc délivré est donc le même que le blanc de référence des moniteurs professionnels. Ça et l’indice de fidélité couleurs CRI (ici de plus de 98%) sont importants pour ne pas avoir une perception tronquée des couleurs affichées, du fait d’un référent incorrect.
Pourquoi les professionnels de l’image choisissent Medialight ?
C’est cette double conformité colorimétrique et spectrale de la solution Medialight Mk2 Flex qui fait qu’elle est aujourd’hui utilisée par les Studios professionnels qui assurent l’étalonnage couleur des films et séries.
Medialight permet aux étalonneurs de travailler plus longtemps sur les images, sans fatiguer, et sans se tromper sur les choix artistiques faits.
Et de Hollywood à chez soi, il n’y a qu’un pas pour profiter des mêmes bénéfices…
Vous aussi, adoptez l’éclairage anti-fatigue Medialight Mk2 Flex
Comment installer l’éclairage indirect Medialight Mk2 Flex ?
Concrètement, mettre en place en place l’éclairage indirect anti-fatigue Medialight Mk2 Flex sur son téléviseur, afin de profiter de visionnages plus agréables, est donc très simple. Il faut :
- Déterminer quelle longueur de bandeau est nécessaire (cf. tableau ci-dessus), par rapport à la taille du TV et de son emplacement.
- Pour la pose d’une seul bande (TV sur meuble) : enlever la protection adhésive 3M, et fixer horizontalement au dos de son TV le ruban, à une distance entre 5 et 10 cm du bord supérieur. Et replier l’excédent (s’il y en a), aux 2 extrémités vers le bas. Pour la pose de 3 ou 4 bandes : partir d’un coin en bas, au plus proche du port USB du TV, à 5 cm du bord extérieur de l’écran. Enlever la protection adhésive 3M, remonter et faire le tour. Une fois fait, s’il y a de l’excédent, il faut couper aux ciseaux. Les endroits possibles pour la coupe sont marqués.
- Relier le connecteur d’alimentation (avec interrupteur) du ruban au port USB de son téléviseur ;
- Allumer l’interrupteur pour lancer l’éclairage ;
- Ajuster l’intensité de cet éclairage, au moyen de la télécommande fournie et de la mire vidéo dédiée de façon à ce que la luminosité de la mire soit la même que celle du rétroéclairage assuré par Medialight ;
- Ne plus rien toucher, et profiter désormais de longues séances ciné et ludiques, tranquilles !
L’astuce tranquillité
Comme on vient de le voir, le ruban LED Medialight Mk2 Flex tire son alimentation électrique d’un port USB (3.0) libre du téléviseur. De cette manière, il s’allume, mais aussi s’éteint en même temps que lui !
Ainsi, nul besoin de s’en occuper ; à l’extinction du téléviseur, l’éclairage indirect Medialight Mk2 Flex s’éteint aussi !
Précisons qu’il n’est pas utile de couper la lampe Medialight Mk2 Flex lors d’un visionnage en plein jour. Elle consomme très peu et ne se voit tout simplement pas quand la luminosité de la pièce est importante.
En savoir plus : pourquoi les écran de cinéma ne font pas mal aux yeux, eux ?
Oui, pourquoi les écrans de salles de cinéma, par définition dans le noir complet, ne fatiguent-ils pas autant les yeux ? D’abord, parce que l’écran géant d’une salle de cinéma englobe plus largement le champ de vision, et de fait la pupille ne fait pas l’erreur de trop se dilater. Il n’y a donc pas d’éblouissement. Ensuite, et ça s’ajoute, les écrans de cinéma sont bien moins lumineux que les téléviseurs. Jusqu’à 90 % voire bien davantage avec les récents TV 4K et 8K HDR. Donc, là aussi, mathématiquement, l’œil reçoit beaucoup moins de lumière.
Mais d’une manière générale, même avec la lampe pour TV anti-fatigue Medialight Mk2 Flex en service, faites quand même régulièrement des pauses (pour dégourdir les neurones), et surtout, clignez des yeux. C’est important pour que les larmes puissent les maintenir humides. Et si malgré tout, vous ressentez l’impression de « sable » dans le yeux, ou constatez des larmoiements, des yeux rouges et/ou des maux de tête, nous vous conseillons de voir ou revoir un ophtalmologiste.
A Retenir
L'obscurité n'est pas conseillée pour le visionnage d'un écran TV, car cela augmente fatigue visuelle. La solution pour s'en prémunir et profiter en plus d'une image au contraste amélioré, est de placer une source d'éclairage contrôlée derrière le téléviseur, de température de couleur du blanc proche du standard D65. Les LED blanches du système d'éclairage pour TV Medialight Mk2 Flex sont certifiées par l'ISF sur ce point.
Questions :
Q : Pourquoi des LED blanches et pas en couleurs ?
R : Le blanc (qui contient toutes les couleurs) est important pour apporter une référence couleur stable à l’œil. D’où la nécessité aussi qu’il soit du même type que celui des téléviseurs bien calibrés, c’est-à-dire D65 ou 6500K, et aussi avec un large spectre de couleurs. Le blanc des LED Medialight Mk2 Flex a un indice de 98 CRI sur ce plan (sur un maximum de 100). Par ailleurs, le spectacle doit rester sur l’écran, et pas sur le mur…
Q : Quelle différence avec l’Ambilight de Philips ?
R : Ambilight, exclusif aux téléviseurs Philips, dispose effectivement d’un mode fixe avec lumière blanche. Philips est le premier à avoir compris l’intérêt pour le grand public d’ajouter un rétroéclairage d’ambiance LED au dos de ses téléviseurs, à la fois pour le confort de visionnage ; pour améliorer les noirs ; mais aussi augmenter le fun avec son mode coloré exclusif, synchronisé aux images.
Q : Faut-il un simple bandeau LED, ou le tour complet de l’écran ?
Si le TV est sur pied(s) et distant d’au moins 15 cm du mur, un bandeau horizontal suffira pour obtenir par réflexion sur le mur le large halo lumineux recherché pour faire effet. Maintenant, si l’écran est plus proche voire accroché au mur, il faut multiplier les côtés couvets car le halo n’a pas le recul pour bien se matérialiser. L’importance n’est pas l’intensité, mais l’étendue du halo autour de l’écran, qui doit largement déborder pour faire effet.
Q : Est-ce que Medialight Mk2 Flex est adapté aux TV HDR (High Dynamic range) ?
R : Oui, c’est même encore plus utile, car ces écrans sont encore plus lumineux, jusqu’à 1.500 nits, contre 400 nits en moyenne pour les TV HD et 4K classiques. Et les constructeurs annoncent déjà des modèles HDR encore plus lumineux, jusqu’à 10.000 nits. Attention les yeux !
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